Midinette
J'avais vu le lancement de cette nouvelle sur le blog de Doudette, mais en général, je ne participe pas à ce jeu à plusieurs mains qui consiste à écrire un roman interactif pour la bonne et simple raison que j'ai pas de talent.
Je n'ai en général aucune imagination pour construire une histoire.
Mais Océane à la fin du huitième chapitre me passe la plume....Je ne peux refuser mais je sens que cela va être coton. Et pour ceux qui ont suivi les coulisses, ça n'a effectivement pas été sans peine.
Alors , vous pouvez lire le début de la nouvelle sur les blogs suivants
Le premier chapitre chez Doudette: Mais que diable allait-elle faire dans cette galére?
Le deuxième chapitre chez Patrice: J’ai besoin d’air
Le troisième chapitre chez Spads Ecrire
Le quatrième chapitre chez TitiMoby La musique adoucit les moeurs
Le cinquième chapitre chez Manu Rêve et Alpaga
Le sixième chapitre chez Nipette: La renaissance
le septième chapitre chez Emma : Ma vie sans moi
Le huitième chapitre chez Océane: Cadavre Exquis
Le Neuvième chapitre ici
Midinette
"Alors j'inspire profondément et tout d'un coup, sans que je ne sache pourquoi, mes mains se mettent à trembler, mon coeur à s'emballer, je suis comme prise d'une folie, une douce folie.
Je ne me reconnais pas mais là, là..là....
Là, je vais le faire! Je vais prendre mon destin en main.
Je tremble, je fixe cet écran qui se floute, et je tape son nom. Lentement, me délectant de chaque lettre, de chaque bruit de chaque touche et d'un geste précis et direct, j'appuie sur "Entrée".
Je ferme les yeux, j'inspire à nouveau, intensément.
Pourvu qu'il apparaisse....
J'ouvre les yeux.
Et il s s'agitent, cherchent et là, son nom apparaît.
Oui, il est là, et il y en a des pages. Mais il est connu ou quoi? Il a même une page dans Wikipédia!
Alors, telle une midinette, les joues rosies d'excitation, je pars à la rencontre virtuelle de celui qui inconsciemment est toujours resté en moi.
Je veux TOUT savoir....
Oh mon dieu, une photo, un portrait........il est si beau, encore plus beau que dans mon souvenir."
Je passe ici le relais à Libelul qui attend son tour impatiemment.
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